(Un clic sur une des couvertures ci-dessous pour lire le cahier correspondant )
50 ANS DE CFDT EN
LOIRE-ATLANTIQUE
Plaquette réalisée par
l'UD CFDT 44
à l'occasion de son
cinquantième anniversaire.
"Les grèves de 1955 dans la
métallurgie nantaise"
Nantes, août, septembre, octobre 1955, actions…mobilisations…
manifestions…initiatives… positions syndicales… grèves… lock out…affrontements…
mort de Jean Rigolet… Solidarités…
Jean Duret est un militant
syndicaliste CFDT. En 1955 il est délégué CFTC, dessinateur «mensuel» salarié des
ACB. Au cœur des évènements, chaque jour, Jean a noté fidèlement le quotidien
du combat des métallurgistes nantais.
Jean nous livre un témoignage unique sur 50 jours, du 17 août au 5 octobre 1955, jours qui
resteront à jamais gravés sous le nom "les grèves de
1955 dans la métallurgie nantaise" dans le grand livre de
l’histoire ouvrière nantaise.
En 1955, Saint-Nazaire a connu un conflit qui a fait date dans l'histoire des métallurgistes
français.
De février à août 1955, les grèves des métallos et bien au-delà de ce secteur, en particulier dans le Bâtiment, restent gravés dans la mémoire ouvrière de la Loire-Atlantique.
Dans la même période, les salariés de la raffinerie de Donges qui étaient moins payés que dans le reste de la profession ont mené un conflit dont ils sont eux aussi sortis victorieux...
Dans la même période, les salariés de la raffinerie de Donges qui étaient moins payés que dans le reste de la profession ont mené un conflit dont ils sont eux aussi sortis victorieux...
Ce Cahier n° 4 est consacré à la grève qui
s'est déroulée en 1972 dans l'entreprise de charpentes métalliques « Joseph
PARIS » à Nantes.
Ce conflit est exemplaire à de nombreux titres
et produit comme un effet de loupe sur les acteurs sociaux de l'époque. La
revendication - le salaire en deux éléments - portée par la
section CFDT qui est fortement implantée sur le site. Ce salaire comprendrait une partie uniforme
qui couvrirait l'ensemble des besoins communs à tous les travailleurs, et une
partie hiérarchisée qui rémunèrerait la fonction, la responsabilité.
La détermination des 200 salariés qui ont
mené une grève de 42 jours pour faire aboutir la revendication est très forte. Mais ils doivent faire face à des affrontements très durs avec les
200 autres qui se sont organisés dans un Comité de défense pour la liberté du
travail...
Leurs salaires étaient inférieurs de 16 % à ceux
de la métallurgie parisienne. De plus, leur travail n’était pas reconnu à sa
juste valeur. Depuis 1963, le patronat local avait refusé toute avancée et il
ne leur restait qu’une issue, la grève.
Ce qu’ils ont fait constituait en soi un
évènement, eux qui participaient peu à l’action revendicative et n’avaient pas
l’habitude de battre le pavé pour se faire entendre. Pendant deux mois ils ont
tenu bon jusqu’à leur belle victoire du 1er mai. Cinquante ans plus tard, le Groupe Histoire
CFDT 44 a voulu faire revivre cette grève qui fut exemplaire à plus d’un titre.
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| Mai 1968 à Châteaubriant |
Le cinquantenaire de mai 1968 a fait naitre de nombreuses initiatives permettant de revivre ou de découvrir ces évènements et de les analyser.
Les documents d'archives ont fourni la base des informations mais nous avons également tenu à écouter les acteurs de cette période...
C’est en 1966 que la CPIO a été créée par la Régie Renault, a l’époque fleuron public de l’automobile française. Les salaries entres a la CPIO ont ensuite travaille chez DRAFTEX a partir de 1988, puis fin 2000 chez TRELLEBORG. Au cours de toutes ces années, leur lieu de travail n’a pas change : il est reste situe a Carquefou, une commune limitrophe de Nantes, et souvent dans les mêmes bâtiments que précédemment. Leur activité professionnelle est restée la même : la fabrication de pièces en caoutchouc ou en plastique pour l’industrie automobile. C’est au vécu de ces salaries et aux réactions syndicales face a un patronat tout puissant que s’est intéressé le Groupe Histoire CFDT 44. Ce cahier a été rédigé principalement a partir des archives de la section syndicale CFDT. Elles fournissent des informations précises sur les actions revendicatives qui ont été menées durant ces cinq décennies. S’y ajoutent des témoignages qui permettent au lecteur de découvrir la réalité du travail et des relations sociales a la CPIO, chez DRAFTEX, puis chez TRELLEBORG.
